Un projet auquel participe l’IGE reçoit 8 millions d’euros de l’UE pour améliorer la surveillance de la qualité de l’air en Europe

  • Le projet RI-URBANS se concentre sur les nanoparticules et les particules atmosphériques, leurs tailles, leurs constituants, leurs sources et leurs précurseurs gazeux.
  • Il vise à mettre en œuvre de nouveaux outils de service qui contribuent à améliorer la qualité de l’air dans les villes européennes.
RI-URBANS advanced service tools will improve air quality monitoring in European cities | Source : Pixabay

Grenoble, le 27 octobre 2021. Le projet RI-URBANS, financé par la Commission européenne, a été officiellement lancé dans le but de fournir des outils de service avancés à partir des infrastructures de recherche atmosphérique pour mieux évaluer la qualité de l’air en Europe. Coordonné par l’Institut espagnol d’évaluation environnementale et de recherche sur l’eau (IDAEA-CSIC) et l’Université d’Helsinki (UHEL)->https://www.helsinki.fi/en], et dirigé par Xavier Querol (IDAEA-CSIC) et Tuukka Petäjä (UHEL), RI-URBANS rassemble onze villes et vingt-huit partenaires à travers l’Europe dans le but de mettre en œuvre des observations avancées de la qualité de l’air dans les villes et les zones industrielles sensibles.

"Il s’agit d’une occasion en or d’appliquer la recherche avancée sur la qualité de l’air pour évaluer les effets de la pollution atmosphérique sur la santé et les politiques rentables visant à la réduire, non seulement pour les polluants atmosphériques conventionnels mais aussi pour les polluants non réglementés", a déclaré le chercheur et coordinateur de RI-URBANS Xavier Querol.

Pour poursuivre sa stratégie, RI-URBANS (qui signifie Research Infrastructures Services Reinforcing Air Quality Monitoring Capacities in European Urban & Industrial AreaS) se concentrera sur les nanoparticules ambiantes et les particules atmosphériques, leurs tailles, leurs composants, leurs contributions à la source et leurs précurseurs gazeux, en évaluant les nouveaux paramètres de qualité de l’air, les contributions à la source et leurs effets sur la santé afin de démontrer la valeur ajoutée européenne de la mise en œuvre de tels outils de service.

"Le projet réunit des réseaux locaux de surveillance de la qualité de l’air et des infrastructures européennes de recherche sur la composition de l’atmosphère (ACTRIS et IAGOS). Cela permet une interaction bidirectionnelle pour développer et piloter de nouveaux outils de service et harmoniser les flux de données dans des environnements urbains réels avec une couverture paneuropéenne" a souligné Tuukka Petäjä, professeur et coordinateur de RI-URBANS.

RI-URBANS améliorera également la modélisation et les inventaires d’émissions pour l’évaluation des politiques et mettra en œuvre cinq projets pilotes dans neuf villes (Athènes, Barcelone, Birmingham, Bucarest, Helsinki, Milan, Paris, Rotterdam-Amsterdam, Zurich) afin de démontrer ces solutions pour les systèmes avancés de surveillance de la qualité de l’air et l’évaluation de l’exposition humaine.

Le rôle de l’IGE est de mener une tâche qui coordonne les actions autour du potentiel oxydant pour guider son implémentation dans les villes pilotes comme une des métriques d’exposition à relier aux impacts sanitaires de la pollution atmosphérique.

Pour plus d’informations, visitez le site web du projet dans CORDIS ou suivez @RI_URBANS sur Twitter et les comptes de médias sociaux LinkedIn.

Contact :

Coordinateurs :

  • Xavier Querol (xavier.querol idaea.csic.es)
  • Tuukka Petäjä (tuukka.petaja helsinki.fi)

Communication :

  • Alicia Arroyo (alicia.arroyo idaea.csic.es)
  • Giulia Saponaro (Giulia.Saponaro fmi.fi)

Contact local :

  • Gaëlle Uzu, IGE
  • Paolo Laj participe au projet via ACTRIS/UHEL

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